Qu’est-ce que le marketing expérientiel : définition et exemple

Lancer son entreprise : 10 choses à savoir

Par Richard

21/07/2021

bouton d'inscription blanc à la chaîne youtube apprentii millionnaire
0 Partages

Lancer son entreprise est un rêve à portée de plus en plus de gens.

Comment ne pas fantasmer face à cette promesse de liberté et de revenus à foison ?

Malheureusement, la réalité ne correspond pas toujours à ce que l’on s’imagine.

Lancer son entreprise exige en effet beaucoup de sacrifices et de motivation.

Et tout le monde n’est pas fait pour devenir entrepreneur.

Si vous projetez de vous lancer dans cette aventure et que vous recherchez des conseils pour que tout se passe pour le mieux, voici 10 choses essentielles que vous devez savoir.

1. Trouver le bon concept avant de lancer son entreprise

Ce n’est pas le tout de vouloir lancer son entreprise : encore faut-il avoir l’idée business qui va avec.

Et il faut dire que la concurrence est de plus en plus rude, tant tout a déjà été fait.

De nombreux concepts ont en effet déjà été explorés et reproduits à l’identique.

Idéalement, il faudra donc trouver une idée de business qui n’a pas déjà été faite, un produit qui n’a pas déjà été inventé, etc.

Mais n’est-ce pas une utopie d’avoir toujours une longueur d’avance dans un monde où tout va plus vite ?

Malheureusement, seul un coup de chance extraordinaire peut permettre de trouver l’idée business du siècle.

Pour le reste, lancer son entreprise va donc passer par un concept le plus original possible.

Ou en tout cas, par une manière différente d’exploiter un concept déjà exploité par d’autres.

Et pour être sûr que vous vous lancez dans la bonne direction, le mieux reste de tester votre idée d’entreprise.

Ceci dit, une fois l’idée d’entreprise testée et approuvée, il faudra se pencher sur la faisabilité du projet.

2. Savoir où l’on va

Pas question de lancer son entreprise à la légère, sans savoir un minimum où l’on va.

Il y a en effet de nombreux facteurs à prendre en compte avant l’étape de création d’entreprise.

Un petit bilan de compétences va notamment s’imposer.

Pour lancer son entreprise, il faut par exemple avoir conscience de ses forces et de ses faiblesses.

Il faut aussi savoir si l’on est capable de gérer seul son projet d’entreprise : comptabilité, relation client, etc.

Ce sont des aspects essentiels à considérer avant de lancer son entreprise ou une société.

Outre les compétences et qualités humaines, il faudra également se pencher sur le marché ciblé.

Lancer son entreprise demande en effet de réaliser une étude de marché au préalable.

On pourra ensuite établir un business model adéquat, afin de se lancer plus sereinement.

Et pour savoir où aller et quels moyens mettre en place, il faut aussi faire le point financièrement.

3. Faire le point financièrement avant le lancement de son entreprise

L’aspect financier fait partie des choses importantes à considérer pour lancer son entreprise sainement.

En effet, pas de d’entreprise qui tienne sans un solide plan financier.

Alors un conseil : prévoyez un plan de financement précis et sur le long terme.

L’idéal est bien sûr d’avoir un petit bas de laine, afin d’assurer sa sécurité financière en cas de coup dur.

Mais tout le monde ne peut pas attendre d’avoir économisé pour lancer son entreprise.

D’autant plus que toutes les entreprises ne nécessitent pas les mêmes frais.

Certains statuts sont en effet plus propices que d’autres au développement d’une entreprise sans capital.

Quoi qu’il en soit, il sera toutefois indispensable d’établir un plan financier prévisionnel.

Chiffre d’affaire prévu, charges fixes, imprévus éventuels…

Tout ceci fait partie des choses à envisager avant de lancer son activité commerciale par le biais de son entreprise.

4. Lancer sa boîte seul ou à plusieurs ?

C’est la grande question que beaucoup se posent : doit-on entreprendre seul ou à plusieurs ?

À ce sujet, il n’y a aucune réponse universelle : cela dépend tout simplement des envies de chacun.

Parmi les avantages de lancer son entreprise seul, la liberté totale.

Aucun compte à rendre à personne, aucun impératif ni aucune concession à faire.

L’intégralité du chiffre d’affaire revient par ailleurs au seul dirigeant de l’entreprise.

En revanche, se lancer seul est forcément un peu plus risqué.

Le fait d’être plusieurs peut notamment aider à trouver davantage d’idées, mais aussi à rassembler plus de moyens.

Lancer son entreprise à plusieurs permet en effet de réunir plus de capital, et de se serrer les coudes.

En cas d’échec ou de difficultés, être à deux ou plus est souvent réconfortant.

Entreprendre seul nécessite donc d’avoir un mental d’acier, encore plus que pour se lancer à plusieurs.

Lancer son entreprise seul est en revanche tout à fait adapté à ceux qui n’aiment pas travailler en groupe.

5. Le choix du statut pour lancer sa société

Choisir un statut juridique pour son entreprise est une formalité préalable indispensable avant de démarrer toute activité de business.

Le statut permet en effet de conférer à l’entreprise une existence légale et officielle.

Seulement voilà : des statuts juridiques, il y en a toute une pléiade.

Et ce n’est pas toujours simple de s’y retrouver quand on n’est pas très calé en la matière.

Pour lancer son entreprise sans prendre trop de risques, le meilleur statut reste celui d’auto-entrepreneur (appelé désormais micro entrepreneur)

La simplicité administrative et la liberté de ce statut en attirent en effet plus d’un.

Le régime fiscal est notamment très simplifié par rapport à d’autres statuts.

De même, aucun capital de départ n’est requis lors de la création, et l’auto-entrepreneur ne paie pas d’impôt sur les sociétés.

Il peut également rester entrepreneur salarié les premiers temps, le temps de lancer son activité.

Il faut toutefois savoir que l’auto-entreprise ne permet pas de s’associer avec quelqu’un.

C’est donc le statut idéal pour lancer son entreprise seul.

Ceux qui ont du capital et qui prévoient un chiffre d’affaire important devront en revanche opter pour un autre statut.

EIRL, EURL ou SASU pour les personnes seules, SAS ou SA pour ceux qui se lancent à plusieurs…

Chaque statut possède des avantages et des inconvénients.

Il appartient donc à chacun de bien se renseigner avant de lancer son entreprise.

6. Une motivation en béton armé

Peu importe l’idée, le capital, le nombre d’associés ou le statut juridique.

Il est en effet une composante majeure et commune à tous les entrepreneurs : la motivation.

Entreprendre aujourd’hui est loin d’être une chose facile.

Avant le succès, ce sont de nombreux échecs qui vont très certainement survenir.

La plupart des grands entrepreneurs sont confrontés à des défis et ont du affronter de terribles tempêtes à leurs débuts.

Steve Jobs a par exemple commencé son activité seul, au fin fond de son garage.

Des débuts chaotiques qui ne l’ont pourtant pas empêché de devenir l’un des plus grands entrepreneurs de notre ère.

7. Financer son entreprise sans passer par les banques

En tant que futur freelance ou micro-entrepreneur en plein lancement de son nouveau projet, vous serez probablement à la recherche de solutions pour financer votre entreprise sans passer par les banques.

Même en reprenant une société déjà existante, vous pouvez également avoir besoin d’un apport financier.

Si les banques sont les premières actrices financières auxquelles nous pensons, il existe cependant d’autres ressources.

C’est le cas du crowdfunding, des micro crédits, des subventions, du crowdlending, du love money ou encore des prêts d’honneur.

Solliciter les emprunts bancaires n’est pas sans conséquences.

De nombreuses contraintes sont souvent imposées aux emprunteurs.

Voici donc plusieurs solutions pour obtenir des moyens de financement d’une entreprise, sans faire appel aux acteurs bancaires.

Utiliser le micro crédit pour éviter de faire appel aux prêts des banques

En fonction de votre situation économique, il peut s’avérer difficile d’accéder aux prêts bancaires.

Situation jugée précaire ou revenus perçus comme insuffisants, il vous faut pourtant une solution pour lancer votre entreprise.

Pour ce faire, vous pouvez faire appel aux microcrédits, ou en d’autres termes, à un prêt rémunéré.

Le micro crédit propose un taux d’intérêt à partir de 5 %.

Par contre, son montant ne peut excéder 10 000 € ou 20 000 € pour l’ADIE.

La durée de remboursement est variable entre 36 et 48 mois.

Cependant, vous pouvez aussi négocier un paiement différé avec l’organisme qui vous accorde un prêt.

Le micro crédit se complète généralement avec un prêt d’honneur ou une aide publique.

La demande pour réaliser ce prêt rémunéré se fait auprès de l’ADIE, des chambres des commerces, des chambres des métiers ou des réseaux accompagnants.

Faire appel au financement participatif

Le financement participatif est une bonne solution pour financer une entreprise sans passer par les banques.

À l’heure où l’on ne parle que du digital, ce système de financement a la côte.

Grâce à ce type de financement, vous pouvez faire appel au grand public à travers des plateformes en ligne pour récolter de l’argent et aider au financement de votre projet.

Cette option de financement est simple et elle peut être très rapide.

Si vous avez entendu parler du crowdfunding, du crowdlending ou du crowdequity, vous avez peut-être déjà connaissance de ces techniques.

Le crowdfunding avec don ou le reward crowdfunding, consiste à obtenir une aide financière avec ou sans contrepartie pour les donneurs.

Dans ce cas, les créateurs de projets font souvent appel au système de préventes ou de précommandes pour leur futur service ou produit.

Le crowdlending est ni plus ni moins un prêt participatif.

Dans ce cas, les prêteurs qui sont normalement des particuliers, réalisent un placement financier sur une longueur de temps définie, ainsi qu’à un taux de rendement connu.

Le crowdequity reprend le système du crowdfunding, mais sous forme d’investissement cette fois-ci.

On parle alors de capital, d’obligations ou encore de contre royalties.

Utiliser les subventions et les aides aux entreprises

Les subventions sont l’une des sources de financement à laquelle on ne pense pas instinctivement.

Pourtant, les subventions peuvent généralement se demander à n’importe quelle étape du développement d’une entreprise.

Les aides publiques, les subventions et tout autre dispositif d’aides, sont nombreux, notamment sur le territoire français.

En tant qu’auto-entrepreneur, vous pouvez faire appel à l’aide à la création et à la reprise d’une entreprise grâce à l’ARCE, ARE ou NACRE.

Il existe aussi des aides à l’innovation ou des subventions sectorielles.

Créer son entreprise grâce au love money

La love money est l’une des sources de financement auxquelles il est plutôt facile d’accéder.

Financer une entreprise sans passer par les banques est donc possible grâce au soutien de son entourage.

Votre famille, vos connaissances et l’ensemble de vos proches sont des acteurs qui peuvent jouer un rôle très important dans le lancement de votre projet entrepreneurial.

Si vous possédez déjà un apport personnel pour votre entreprise, l’aide financière de votre entourage peut vous aider à porter votre projet encore plus loin.

L’un des avantages de cette source de financement est la rapidité à laquelle vous pouvez récolter de l’argent.

Si vous avez de la chance d’avoir un entourage qui vous fait confiance et qui croit en votre projet, vous n’aurez que très peu de travail à faire pour les convaincre de vous aider financièrement.

Dans le cas où vos proches auraient des doutes, rappelez-leur qu’ils peuvent être exonérés d’impôts, ou obtenir une réduction d’impôts sur leurs dons.

La love money peut aussi se faire sous forme de prêt ou d’investissement (participation au capital).

Dans tous les cas, lorsque votre projet voit le jour, rappelez-vous d’être honnête avec vos investisseurs, et remerciez-les de vous avoir permis d’atteindre votre objectif.

À noter : les dons doivent être déclarés et faire l’objet d’un acte notaire. Pour être accompagné dans ces démarches, vous pouvez vous rapprocher d’un centre des finances publiques.

Financer son entreprise grâce aux prêts d’honneur

Les prêts d’honneur peuvent vous permettre de financer la création d’un projet ou de reprendre une entreprise.

Ce prêt se fait auprès d’organismes membres d’un réseau d’accompagnement.

Parmi les plus connus, vous retrouvez Pôle Emploi, l’ADIE, Initiative France ou encore Réseau d’entreprendre.

Le prêt d’honneur est un prêt à la personne et son taux est normalement de 0 %.

Vous n’avez pas besoin d’apporter une garantie, ni même une caution personnelle.

Les remboursements des prêts à l’honneur se font entre 3 et 5 ans.

L’un des avantages de ses prêts est le montant que vous pouvez obtenir.

En effet, la somme du prêt peut atteindre 90 000 € pour certains projets.

En revanche, pour cela, vous devez être prêt à faire plusieurs démarches ainsi qu’à présenter votre projet devant un jury de professionnels qui s’occupe par la suite d’accepter votre demande, ou non.

Utiliser les fonds d’investissement

Lorsque vous faites appel à des fonds d’investissement, vous devez être prêt à accueillir dans votre projet des actionnaires professionnels.

Leur participation financière peut être majoritaire ou minoritaire en fonction de ce que vous décidez.

Avec cette entrée en capital, vous pouvez espérer obtenir des centaines de milliers d’euros de la part des investisseurs.

Ceci dépend bien évidemment toujours de votre projet.

Ces partenariats se réalisent généralement sur plusieurs années (entre 3 et 7 ans). 

Les options et opportunités de financer une entreprise sans passer par les banques sont nombreuses et variées.

Si certaines d’entre elles sont cumulables, certaines sont atteignables sous certaines conditions.

Afin de vous assurer que vous soyez éligible, n’hésitez pas à vous tourner vers des organismes compétents qui sauront vous aiguiller.

Ainsi, vous éviterez vous aussi de faire les erreurs des startups qui échouent.

Lancer son entreprise nécessite donc de rester motivé en toutes circonstance.

Tenir bon malgré les difficultés financières et morales sera en effet essentiel pour réussir.

8. L’entrepreneuriat comporte de nombreux avantages

Vous avez décidé de lancer votre propre business, mais vous êtes hésitant ?

C’est normal : vous avez été salarié toute votre vie et vous avez peur de vous jeter dans l’inconnu. 

Cependant, permettez-moi de vous dire que la vie d’entrepreneur peut vous offrir de nombreux avantages et changer radicalement votre vision des choses. 

Travailler pour ses rêves

Dans un premier temps, sachez qu’en étant entrepreneur, vous allez travailler pour vos propres projets, vos propres objectifs, et surtout pour vos rêves. 

Vous n’aurez plus l’impression de faire des efforts pour la fortune de quelqu’un d’autre (ce qui est le cas sous le régime du patronat). 

Ainsi, tout l’argent que vous allez apporter tout au long de votre carrière professionnelle sera à vous et exclusivement à vous. 

Avoir son autonomie financière

Être entrepreneur, c’est aussi ne plus dépendre de personnes pour faire de l’argent.

En effet, vous n’aurez plus besoin d’attendre la fin du mois pour avoir votre paie. 

Et de même, vous serez aussi en mesure de gagner beaucoup plus que vous ne pouvez l’imaginer. 

De ce fait, vous pourrez dire adieu aux prêts bancaires à répétition pour satisfaire vos envies, car votre salaire est trop maigre. 

Dans le monde de l’entrepreneuriat, vos revenus sont proportionnels aux efforts que vous déployez et de vos blocages psychologiques. 

Choisir ses collaborateurs 

Si vous aviez déjà travaillé dans une entreprise auparavant, vous savez sans aucun doute ce que c’est d’évoluer avec des collègues particulièrement déplaisants et antipathiques.

Vous savez aussi ce que c’est d’avoir un supérieur hiérarchique exécrable. 

Néanmoins, avec votre startup, vous n’aurez plus à subir ce genre de désagrément dans la mesure où vous pourrez choisir vous-même qui seront vos collègues. 

La liberté, tout simplement 

Enfin, l’un des principaux avantages de l’entrepreneuriat, c’est de profiter de votre liberté.

Ici, il n’est plus question de jouer contre la montre pour arriver à l’heure à votre bureau.

Vous n’aurez plus besoin de compter les secondes et les minutes avant de pouvoir rentrer chez vous. 

En travaillant à votre compte, vous serez libre de choisir vos heures de travail et de vous occuper de votre entreprise où que vous soyez, que ce soit depuis le confort de votre lit ou sur la terrasse d’un café. 

9. Savoir créer une offre unique et révolutionnaire

Maintenant que vous disposez des moyens nécessaires pour mettre votre entreprise sur les rails (idée d’entreprise, apport bancaire, etc.), il ne vous reste plus qu’à créer votre offre.

Si vous décidez de le faire vous-même, ce n’est pas la peine de réinventer la roue.

Tout ce que vous avez à faire, c’est de suivre le processus dont je vais vous parler aujourd’hui et qui a déjà réussi à plusieurs grandes entreprises avant vous.

Étape 1 : l’idéation

La phase d’idéation est sans aucun doute l’étape la plus importante de votre processus de conception. 

Néanmoins, il s’agit également de la plus difficile, car vous devez faire appel à votre imagination et à votre créativité pour créer un produit digne de ce nom. 

Bien entendu, comme je vous le disais précédemment, vos pairs sont déjà passés par là et ont déjà d’ores et déjà trouvé la solution à ce problème.

Ce dernier est connu sous le nom du modèle SCAMPER et consiste à créer votre produit selon la méthode suivante (qui correspond aussi à l’acronyme de ce mot) : 

  • Substituer : transformez les produits existants afin de les rendre plus performants ou de les adapter aux nouveaux besoins de vos consommateurs (par exemple, proposer du savon liquide en bouteille plutôt qu’une version solide)
  • Combiner : donnez plusieurs fonctionnalités à un seul produit pour créer une meilleure offre (lunettes de vue avec filtre solaire intégré, Smartphone, etc.) 
  • Adapter : faites en sorte que le produit s’adapte parfaitement aux besoins de vos consommateurs (un soutien-gorge destiné à l’allaitement)
  • Modifier : proposez votre produit avec différentes déclinaisons afin de diversifier votre offre et obtenir plus de clients (coque de téléphone portable interchangeable, autocollants amovibles, etc.)
  • Permettre une nouvelle utilisation : trouvez une utilisation inédite à votre produit pour vous démarquer de la concurrence (un matelas à mémoire de forme pour chien, un meuble de cuisine pour personne en difficulté motrice, etc.)
  • Éliminer : si vous pensez qu’une fonctionnalité n’a plus de raison d’être, vous pouvez tout simplement la retirer (les touches sur les téléphones, les tubes cathodiques pour les postes de télévision, etc.)
  • Réorganiser ou renverser : dans certains cas, il vous faut revenir aux sources pour obtenir un nouveau produit performant (utilisation d’emballage biodégradable à la place du plastique, recours à des ingrédients bio, etc.)

Étape 2 : la création du prototype 

Pour obtenir le produit parfait, vous devez en créer plusieurs modèles en les améliorant au fur et à mesure de votre processus de création.

En d’autres termes, pour chaque nouvelle version, vous allez apporter des améliorations et éliminer ce que vous considérez comme superflu ou inutile. 

De plus, si vous vous dites qu’il s’agit d’un procédé assez coûteux, rassurez-vous !

Actuellement, grâce à l’évolution des nouvelles technologies, il est désormais possible d’utiliser une imprimante 3D pour votre phase de prototypage.

De cette façon, votre startup gagnera non seulement du temps, mais aussi de l’argent, car rien ne vous empêche de réaliser des tests en proposant vos prototypes à la vente (pour un coût dérisoire) afin d’obtenir des retours (positifs ou négatifs) auprès de vos clients. 

Étape 3 : la validation du prix 

Maintenant que votre produit est prêt, il ne vous reste plus qu’à totaliser vos différentes charges et dépenses pour trouver le prix de votre produit et dégager des bénéfices.

Après tout, il s’agit là de votre principal objectif : faire en sorte que votre startup soit rentable. 

Pensez également à rassembler toutes les informations qui pourraient avoir un impact direct sur le coût de vos produits (concurrence, budget, publicitaire, marge brute, etc.). 

10. French Tech : un programme innovant pour les startups

Si votre startup a du mal à décoller ou que vous ne parvenez pas à convaincre les institutions bancaires de vous octroyer un apport, il existe d’autres solutions.

En France, vous pourrez notamment rejoindre la French Tech.

Pour ceux qui ne le savent pas, la French Tech est un organisme qui regroupe non seulement les startups françaises, mais aussi des investisseurs, des décideurs ainsi que des leaders de communauté. 

Programme initié par l’État, il permet d’aider les entreprises en devenir à s’élever et à devenir des leaders dans leur domaine (que ce soit sur le plan local ou international). 

En tant que tels, des plans de financements ainsi que des programmes d’accompagnement sont disponibles pour les startups les plus innovantes

0 Partages

À propos de l'auteur

Consultant en webmarketing et entrepreneur depuis 2013, j’ai créé l’un des sites leader sur la séduction en France avec 1,2 millions de visiteurs annuels et plus d’un millier d’hommes coachés.
En 2017 je décide de créer le site ApprentiMillionnaire et sa chaîne YouTube associée pour aider les entrepreneurs à développeur un business en ligne rentable.

Richard

{"email":"Email address invalid","url":"Website address invalid","required":"Required field missing"}

Rejoignez la communauté

Recevez par email des vidéos et conseils exclusifs pour développer votre business

>